Chacun a ses propres instants de bonheur : il s'agit simplement d'en multiplier la conscience et les occasions.

Les romans ressemblent à la réalité, mais pas le contraire.

La Révolution est comme Saturne : elle dévore ses propres enfants.

A quoi peut servir un être sans amour, sinon à gêner autrui ?

L'écriture, c'est comme un iceberg, avec un dixième émergé. La partie émergée, c'est le premier roman. Ensuite, il y a le deuxième, le troisième... A chaque roman, on va plus profond.

Mon concerto choisit pour protagonistes le premier violon et le violoncelle et les projette dans une relation instinctive, comme lorsque se rencontrent deux personnages d'un opéra.