Il fut un temps où rien n'était éteint Où seul l'or de mon coeur donnait l'heure Et alors j'étais fort, mais j'ai perdu la fleur et l'innocence Dans ce décor je me sens perdu, rien n'a plus de sens Mais j'ai encore quelques rêves et si tant est que j'aie

Dans l'excès de bonheur, il y a peut-être quelque chose de pris à quelqu'un.

Le bonheur s'alimente volontiers de malentendus.

D'abord, je trouve toujours choquant et blessant de s'arroger le monopole du coeur. Vous n'avez pas, Monsieur Mitterrand, le monopole du coeur, vous ne l'avez pas.

On peint avec le coeur et la tête plus qu'avec les mains.

Baiser de lèvres ne vient pas toujours du coeur.