L'imagination est le mode de déplacement le plus rapide.

L'écrivain observe, entend, écoute, enregistre. Puis il raconte une histoire, mêlant son imagination à son expérience. Et elle porte nécessairement les cicatrices de son âme.

Ce n'est pas la crainte de la folie qui nous forcera à laisser en berne le drapeau de l'imagination.

Le temps est une invention, ou il n'est rien du tout.

L'imagination, c'est cette partie décevante dans l'homme, cette maîtresse d'erreur et de fausseté, et d'autant plus fourbe qu'elle ne l'est pas toujours.

Osez prendre un plus grand essor : un tour d'imagination un peu hardi nous ouvre souvent des chemins pleins de lumière.