J'ai appris à quel point il est important de divertir les gens et de leur donner une raison de venir vous voir jouer.

J'ai toujours dit que jouer au rugby en Espagne, c'était comme être un torero au Japon.

C'était un gros problème pour moi de jouer des personnages, de ressentir des choses et de me connecter à quelqu'un dans un faux monde.

On n'a jamais cessé de jouer les anciennes comédies, mais on les a tournées autrement.

J'aime jouer des personnages qui ont des fêlures... c'est par là qu'entre la lumière.

Quand vous arrivez au théâtre, vous êtes tout de suite désigné : «Toi, tu vas jouer le cocu!» Ça permet de comprendre assez rapidement à quoi on se prépare.