Le bien suprême de l'âme est la connaissance de Dieu ; et la vertu suprême de l'âme, c'est connaître Dieu.

Ce n'est pas un malheur d'être méconnu des hommes, mais c'est un malheur de les méconnaître.

Il y a, dans le sentiment même des regrets, quelque chose de doux et d'harmonieux qu'il faut tâcher de faire connaître à ceux qui n'ont encore éprouvé que les amertumes.

Pour bien connaître une vérité, il faut l'avoir combattue.

A trente ans, les hommes ont déjà fini de se connaître par le coeur. Le calcul leur suffit.

Si la vérité nous fait parfois défaut, c'est parce que nous avons commencé à lui manquer, en prétendant la régenter et la connaître.