Le seul bien qui me reste au monde Est d'avoir quelquefois pleuré.

L'islamisme n'est pas l'islam mais cette maladie de l'islam qu'est la recherche effrénée d'un bouc émissaire au marasme dans lequel la relégation des femmes et l'échec de la sécularisation ont plongé le monde arabo-musulman.

Entre presque oui et oui, il y a tout un monde.

Le monde peut fort bien se passer de littérature. Mais il peut se passer de l'homme encore mieux.

Je me suis embrouillé avec tellement de monde qu'avant un match je ne sais plus à quel joueur serrer la main.

LE MONDE est sur-armé et la paix est sous-financée.