Les enfants eux, vivent la vie sans se préoccuper ni du passé, ni de l'avenir. Ils sont présents au monde.

L'idée d'être un symbole me déplaît, mais si je dois être le symbole de quelque chose je préfère que ce soit du sexe.

Je veux décevoir tout le monde pour pouvoir jouir d'une liberté de ton et d'esprit. Pour pouvoir passer au crible tous les pouvoirs, toutes les religions, et toutes les institutions.

La démocratie, c'est le pouvoir pour les poux de manger les lions.

Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu'elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde se défasse.

En ce monde mortel, il n'est de grave que ce rapport tendre entre les hommes que l'on nomme Amour.