La divinité de l'homme réside dans sa singularité.

Un homme qui a vécu dans l'intrigue un certain temps ne peut plus s'en passer.

Si la science ne s'intéresse pas aux choses délirantes, elle risque fort de passer à côté de choses intéressantes.

Qui ne sait mettre sa volonté dans les choses, y met au moins un sens : cela revient à croire qu'une volonté s'y trouve déjà.

Il n'y a pour l'homme que trois événements : naître, vivre et mourir. Il ne se sent pas naître, il souffre à mourir, et il oublie de vivre.

L'honnête homme envisage les choses du point de vue de la justice ; l'homme vulgaire, du point de vue de son intérêt.