La souffrance n'est pas une occasion de haïr, c'est une occasion d'aimer.

La souffrance enlaidit les êtres. Elle durcit les traits, fige le sourire, donne des rides et un teint gris. Le visage des gens qui souffrent fait mal voir.

Le désir est une source de trouble et de souffrance...

Aucun progrès ne peut être acquis par une société sans passer la souffrance, et c'est là le matérialiste est désarmé.

Tout le bouddhisme est basé sur la possibilité de se libérer de la souffrance, de s'en libérer par soi-même et d'être seul capable de s'en libérer.

Ne perdez point de vue que nous sommes ici de passage et que, bientôt, il faudra, là-haut, présenter un billet d'entrée. Avec quoi voulez-vous payer sinon avec la souffrance ?