Il vaut mieux mourir dans les bras d'une fille qui vous connaît bien que périr en face d'un type qui ne vous a jamais vu.

Nous bricolons plus ou moins notre vie pendant soixante à quatre-vingts ans, et ensuite, quand nous savons à peu près comment il faudrait vivre, il nous faut mourir.

Mourir après avoir donné la vie, c'est continuer de vivre.

On meurt pour ce qui est fort, non pour celui qui est faible. Mourir pour ce qui est fort fait perdre à la mort son amertume.

Peu importe ce que nous avons pu faire par le passé, peu importe qui nous sommes ou d'où nous venons, il nous est toujours possible de changer, de devenir une meilleure personne qu'auparavant.

Il faudrait ne jamais devenir grand.