De mon ami, j'attends qu'il partage l'image que je me fais de moi-même, du moins dans une mesure raisonnable.

Si Dieu nous a faits à son image, nous le lui avons bien rendu.

La presse a un pouvoir de l'image si puissant qu'elle peut faire passer un criminel pour une victime et montrer la victime comme une criminel.

Plus les rapports des deux réalités rapprochées seront lointains et justes, plus l'image sera forte.

Le regard de l'ami devrait nous livrer notre propre image avec exigence. L'amitié se tiendrait alors dans une réciprocité sans faille, guidée par le même principe d'amour : le respect qu'on se doit à soi-même pour que les autres nous le rendent, naturellement.

L'image alerte, l'écrit persuade.