L'invention technique procède de l'homme seul et non de ses besoins vitaux, mais de ses rêves, c'est-à-dire de ses vrais désirs.

Il fut un temps où rien n'était éteint Où seul l'or de mon coeur donnait l'heure Et alors j'étais fort, mais j'ai perdu la fleur et l'innocence Dans ce décor je me sens perdu, rien n'a plus de sens Mais j'ai encore quelques rêves et si tant est que j'aie

Les rêves sont le combustible qui alimente le feu du désir.

La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit.

Nul n'a le pouvoir d'interdire les rêves.

Nous sommes de l'étoffe dont sont faits les rêves, et notre petite vie est entourée de sommeil.