Un coeur, c'est peut-être malpropre. C'est de l'ordre de la table d'anatomie et de l'étal de boucher. Je préfère ton corps.

Les mots justes trouvés au bon moment sont de l'action.

Il vaut mieux mettre son coeur et ne pas trouver les mots, que de trouver les mots et de ne pas y mettre son coeur.

Les mêmes mots, dans une bouche nouvelle, prennent un accent de vérité qu'ils avaient perdu...

De violon, l'homme en vieillissant devient violoncelle, puis contrebasse : un corps épais, une voix grave et pas grand-chose à dire.

Les mots me font l'effet d'un pensionnat de petits garçons que la phrase mène en promenade.