La lecture de tous les bons livres est comme une conversation avec les plus honnêtes gens des siècles passés.

J'ai toujours senti que l'état d'auteur n'était, ne pouvait être illustre et respectable qu'autant qu'il n'était pas un métier. Pour pouvoir, pour oser dire de grandes vérités, il ne faut pas dépendre de son succès.

Le temps passe, les souvenirs s'estompent, les sentiments changent, les gens nous quittent, mais le coeur n'oublie jamais.

Celui qui apprend quelque chose de moi enrichit son savoir sans réduire le mien, tout comme celui qui allume sa chandelle à la mienne se donne de la lumière sans me plonger dans l'obscurité.

Ecrire un roman, c'est savoir que chaque mot fait aussi partie d'un immense trésor.

Comment peut-il y avoir encore tant de gens qui ne savent ni lire ni écrire quand il y a tant de cours par correspondance !