Le monde est un menteur : il nous promet des plaisirs et il ne donne que des peines.

À un moment de la vie, la beauté du monde devient suffisante. Vous n'avez pas besoin de photographier, de peindre ou même de vous en souvenir.

Lorsqu'une femme met au monde, elle change brusquement de génération ; elle est submergée par un véritable orage hormonal et affectif qui ne peut être contrôlé. Elle devient instinctive.

Faire du théâtre, c'est se mettre à l'écoute du monde, pour en être la caisse de résonance.

La femme a été constituée par Dieu la garde-malade de l'homme. Son dévouement ne surmonte pas le dégoût : il l'ignore.

On a besoin de ses mains pour dire les choses que la parole ne traduit pas.