L'art devrait être quelque chose comme un bon fauteuil dans lequel se reposer de la fatigue physique.

C'est si difficile de vivre quelquefois, la mort nous semble d'une douceur infinie, un grand repos, une douce quiétude, le vide, le néant et puis plus rien.

C'est bien quand on ne fait rien qu'on se fatigue le plus.

Le pardon, quel repos !

La fatigue ne recouvre pas les désirs, elle les révèle.

Pour se soustraire à la fatigue de penser, beaucoup sont même disposés à travailler.