Le rire libère le vilain de la peur du diable, parce que le diable apparaît comme pauvre et fol, donc contrôlable.

Il y a un temps pour le diable et un temps pour le Bon Dieu.

Les pauvres gens ne soupçonnent jamais le diable, quand même il les tiendrait à la gorge.

Donne le doigt au Diable et il voudra toute la main.

Le diable, je suis bien obligé d'y croire, car je le sens en moi !

On ne déjeune pas avec le diable, même avec une très longue cuiller.