La nature du roman, c'est la survie.

Quand on a peur de quelqu'un, on croit facilement le mal qu'on dit de lui.

Nous sommes coupables non seulement du mal que nous faisons, mais du bien que nous ne faisons pas.

Ce qui ne tolère pas la plaisanterie supporte mal la réflexion.

La nature à chaque instant s'occupe de votre bien-être. Elle n'a pas d'autre fin. Ne lui résistez pas.

Des convives mal placés à table perdent leur valeur comme des zéros qui, rangés côte à côte, ne seraient pas précédés d'un chiffre.