Nous ne vaincrons pas le terrorisme si nous ne nous affranchissons pas de la doxa libérale-démocrate.

Une grande sélection c'est grâce aux films, mais une mauvaise sélection, c'est de la faute du sélectionneur.

On appelle fin du monde le jour où le monde se montre juste ce qu'il est : explosif, submersible, combustible, comme on appelle guerre le jour où l'âme humaine se donne à sa nature.

Dans la guerre, il y a une chose attractive : c'est le défilé de la victoire. L'emmerdant c'est avant.

La guerre civile, c'est exactement ça : le triomphe des salauds. On les voit sortir de partout. On s'étonne même qu'il y en ait autant et qu'on ne les remarque pas plus d'habitude.

Le manque de chance est une faute professionnelle.