Tandis qu'un animal se tapit dans le noir pour mourir, un homme cherche la lumière. Il veut mourir chez lui, dans son élément, et les ténèbres ne sont pas son élément.

Les livres que le monde appelle immoraux sont ceux qui lui montrent sa propre ignominie.

La gloire. Le seul chemin encore ouvert pour atteindre à la divinité.

Dans les sciences, le chemin est plus important que le but. Les sciences n'ont pas de fin.

On se moque des enfants qui justifient leurs mauvais coups par ce gémissement : "C'est lui qui a commencé !" Or, aucun conflit adulte ne trouve sa genèse ailleurs.

La fin du monde apparaîtra quand l'idée même de Dieu aura disparu. D'oubli en oubli, l'homme réussira à abolir son passé et à s'abolir lui-même.