L'annonce du cancer de mon père me dérange un peu.

Ce qui est laid, c'est que sur cette terre il ne suffise pas d'être tendre et naïf pour être accueilli à bras ouverts.

Il est moins imprudent d'agir en maître que de ne pas parler en sujet.

La guerre c'est comme une actrice qui vieillit : de plus en plus dangereuse et de moins en moins photogénique.

Ce serait un moindre mal de mourir si l'on pouvait tenir pour assuré qu'on a du moins vécu.

S'il fallait choisir, je détesterais moins la tyrannie d'un seul que celle de plusieurs. Un despote a toujours quelques bons moments ; une assemblée de despotes n'en a jamais.