Le jour de la mort de Brassens j'ai pleuré comme un môme. J'ai vraiment pas honte de le dire. Alors que - c'est curieux - mais, le jour de la mort de Tino Rossi j'ai repris deux fois des moules.

Les morts ne connaissent pas la honte, mais ils puent horriblement.

Quand un homme se dit soudain réaliste, on peut parier qu'il s'apprête à faire quelque chose dont il a honte secrètement.

Quand je me regarde dans la glace, je n'ai pas honte. Humainement, je ne me trouve pas trop mal. Musicalement, j'assume tout ce que j'ai fait.

Le bonheur, pourquoi le refuser ? En l'acceptant, on n'aggrave pas le malheur des autres et même ça aide à lutter pour eux. Je trouve regrettable cette honte qu'on éprouve à se sentir heureux.

C'est une honte d'appeler quelqu'un comme une «diva» simplement parce qu'ils travaillent plus fort que tout le monde.