Mourir, c'est se dissoudre.

La création ne serait-elle pas toujours engendrée par le nécessaire recommencement, ce "savoir mourir" et ce "re-naître" ?

On ne fuit jamais assez loin et on ne se fuit jamais assez longtemps ! Car toujours vous rejoint l'inadmissible.

Je ne suis plus certain que les êtres humains soient vraiment faits pour vivre en communauté, je ne suis pas sûr que nous puissions survivre en tant qu'espèce.

Un véritable réaliste, s'il est incrédule, trouve toujours en lui la force et la faculté de ne pas croire, même au miracle, et si ce dernier se présente comme un fait incontestable, il doutera de ses sens plutôt que d'admettre le fait.

On finirait par devenir fou, ou par mourir, si on ne pouvait pas pleurer.