Il y a deux sortes de femmes, c'est une folie d'épouser les unes, c'est un crime d'épouser les autres.

Où que vous vous tourniez, c'est face à Dieu.

Tout le monde a une beauté différente et des qualités différentes et je pense que les femmes doivent apprendre à aimer leurs qualités et être à l'aise dans le fait que tout le monde est différent.

Plus encore que dans le poème, c'est dans l'aphorisme que le mot est dieu.

On devrait essayer les femmes comme les chaussures. Si cela va, on les garde. Si elles vous cassent les pieds, on les rend le lendemain matin.

En marchant, les femmes peuvent tout : montrer ou ne rien laisser voir. Otez la jupe à une femme, adieu la coquetterie, plus de passion.