L'homme est adossé à sa mort comme le causeur à la cheminée.

Celui qui parvient à se représenter la souffrance des autres a déjà parcouru la première étape sur le difficile chemin de son devoir.

Mes mots ne viennent pas aujourd'hui. Comme le lièvre au fond du terrier, ils se cachent. Grand-père connaît le chemin qui y mène et me sourit d'une seule dent.

Le hasard serait la forme de manifestation de la nécessité extérieure qui se fraie un chemin dans l'inconscient humain.

Pour que le chemin ne soit pas mangé par l'herbe, il faut plusieurs va-et-vient.

Le véritable chemin pour toucher le coeur d'un homme passe par son estomac.