Quand j'étais jeune, j'attendais des gens plus qu'ils ne pouvaient en donner: une amitié sans fin et une excitation constante. Maintenant, j'attends moins de ce qu'ils peuvent réellement donner: rester près des autres en silence. Et leurs sentiments, leur amitié, leurs actions nobles me semblent toujours un miracle: une vraie grâce.

On cherche souvent le bonheur à l'autre bout du monde, pour finalement le retrouver sur le seuil de notre porte quand on revient chez-soi.

La politique ne peut plus promettre des lendemains qui chantent et repousser toujours la résolution des problèmes du quotidien.

Il est toujours mieux vu de lire "La Vie Catholique" dans le train que "La Vie du Rail" à l'église.

Je me suis toujours senti plus chez moi au Royaume-Uni qu'en France.

Il faut toujours prévoir l'histoire, ne serait-ce que pour pouvoir dire après : c'était inévitable.