Toute foi profonde a engendré l'outrage à l'humanité.

La croyance que rien ne change provient soit d'une mauvaise vue, soit d'une mauvaise foi. La première se corrige, la seconde se combat.

Qui ne fait rien, mange le foin, qui travaille, mange la paille.

Il n'est rien que l'amour ne puisse affronter : il n'existe pas de limite à sa foi, à son espérance, à son endurance.

Une fois de plus se pose l'éternelle question : est-ce Dieu, est-ce le diable qui gouverne le monde ? Et seule une foi injustifiable permet d'affirmer que finalement le diable est au service de Dieu.

Rien ne se fait dans les sociétés de grand ou de durable autrement que porté par la foi.