Ah ! mon fils ! que la tendresse d'un père est aisément rappelée, et que les offenses d'un fils s'évanouissent vite au moindre mot de repentir !

Un sot, c'est généralement un homme du monde. La raison en est bien simple. Il n'a rien autre chose dans la tête, et il passe son temps à chercher des poses : des idées, c'est trop fatigant.

Les fils ne savent pas que leurs mères sont mortelles.

L'oeuvre d'un auteur est, ou devrait être, une totalité, un grand organisme dans lequel chaque partie est reliée aux autres par d'innombrables fils, nerfs, muscles, écheveaux, et canaux... qu'on le touche quelque part, il réagit ailleurs.

C'est la seule école de style, mon fils. Ce qu'ils font avec leur corps nous devons le faire avec notre esprit.

Le problème sexuel des fils-à-papa, c'est qu'ils ont été habitués dès leur plus tendre enfance à tout recevoir sans rien donner.