Ce n'est pas la crainte de la folie qui nous forcera à laisser en berne le drapeau de l'imagination.

Il y a moins de crainte dans la haine que dans l'amour ; moins de contrainte aussi.

Il n'existe pas de bouclier contre le mensonge. Ni la crainte des dieux ni la damnation n'ont jamais empêché le mensonge ou le parjure.

Rien ne rend si complètement misérable qu'une crainte continuelle.

Il est à craindre que l'Eglise n'accapare le mouvement pour essayer de reconquérir l'influence politique qu'elle a perdue. Et cela est très dangereux

Pour atteindre la sérénité il ne faut craindre ni le chômage, ni la pauvreté, ni la mort...