La distinction entre le vrai et le faux s'applique aux idées, non aux sentiments. Un sentiment peut être superficiel, il ne sera jamais menteur.

Les idées, c'est comme les gosses. Il ne suffit pas de les avoir, il faut les élever.

Les idées fixes sont bonnes cavalières, elles reviennent vite au galop.

Les idées sont comme les gros billets. Si tu les montres, on te les vole.

À quoi sert d'avoir des idées, si ce n'est accompagné d'Alleluias ?

Quand les hommes n'ont pas de notions saines de la divinité, les idées fausses y suppléent.