J'ai pris mon travail au sérieux, mais pas comme un métier. Plus comme une vie.

Depuis le début je ne pensais qu'à une seule chose : au coronavirus. On aurait dû tout arrêter, c'était une mascarade. La dernière semaine [de campagne avant le premier tour] a été un cauchemar. J'avais peur à chaque meeting. J'ai vécu cette campagne de manière dissociée.

Nous sommes monothéistes. On n'aime qu'une seule femme vraiment dans une vie d'homme.

On ne peut rien obtenir de bien sans travail.

Comptez sur moi, je compte sur vous, ce qui fait que chacun y trouvera son compte !

Vous pouvez compter sur le travail, c'est un ami fidèle qui ne vous décevra jamais.