Je comprends que le fait d'être optimiste à cette époque est un défi, mais je suis néanmoins optimiste.

J'en arrive à me définir Dieu simplement : ce qui me manque pour comprendre ce que je ne comprends pas.

Si on accepte les différences, tout type d'influence, le fait qu'on est fait de plein de choses, à ce moment-là on n'a plus de danger, on est prêt à accepter même des choses que l'on ne comprend pas. Une chose que je ne comprends pas, je l'accepte mille fois plus qu'une chose que je comprends.

Si tu ne comprends pas, pose des questions. Si poser des questions te met mal à l'aise, dis-le et pose-les quand même.

Qu'y a-t-il d'étrange à ce que tu ne comprennes pas ? Si tu comprends, ce n'est pas Dieu !

Tu fais mal si tu fais l'éloge de quelque chose que tu ne comprends pas bien ; et si tu blâmes, tu fais plus mal encore.