Il me semble qu'on résout le problème de la vie, quand on a découvert ce qui doit prendre le premier rang.

Je crois au destin : le jour où l'on doit mourir, on meurt (...) Je suis fataliste. Ce n'est pas en freinant la vie qu'on évite la mort.

L'anonymat de certaines victimes atténue toujours la culpabilité.

Les moralistes sont toujours bouffons, et souvent comiques quand on regarde ce qu'ils sont eux-mêmes.

La poursuite chimérique de la perfection est toujours liée à quelque manque sensible, souvent à l'impuissance d'aimer.

Si de toutes les affections douces, de toutes les actions honnêtes et généreuses dont nous sommes fiers, l'on pouvait découvrir le premier et véritable germe, nous le trouverions presque toujours dans le coeur de notre mère.