On ne meurt jamais, on ne fait que changer de nature comme on change de culottes et la fin d'un être est toujours le commencement d'une nouvelle forme de vie.

Le savoir-vivre est la somme des interdits qui jalonnent la vie d'un être civilisé, c'est à dire coincé entre les règles du savoir-naître et celles du savoir-mourir.

La vieillesse est si longue qu'il ne faut pas la commencer trop tôt.

La jeunesse est une ivresse sans vin et la vieillesse un vin sans ivresse.

L'homme traverse des printemps successifs. Mais pour la femme, il est beau de ne traverser qu'un seul rêve et d'en mourir.

La vie nous console de mourir, et la mort de vivre.