L'art consacre le meurtre d'une habitude. L'artiste se charge de lui tordre le cou.

Il ne faut jamais mettre en place un meurtre. Il doit se produire de manière inattendue, comme dans la vie.

L'humanité n'a trouvé à ce jour sa raison d'être que dans le meurtre. Elle ne s'accomplira que dans sa propre destruction.

Les pêchés parlent, le meurtre crie.

L'homme ne vit pas que du meurtre. Il a besoin d'affection, d'approbation, d'encouragement et parfois d'un repas copieux.

La subversion est pire que le meurtre.