La littérature ne change ni l'homme ni la société. Pour autant, l'absence de littérature rendrait l'homme encore plus infréquentable.

Ce que l'homme voudrait, c'est vivre plusieurs vies. Et ce n'est pas possible parce qu'il n'en a qu'une, et en plus elle est courte.

Considérer l'homme comme un consommateur, c'est tout simplement lui faire perdre son identité, sa véritable image...

L'espoir est un fluide nécessaire à l'homme comme l'eau à la terre, il déclenche des forces insoupçonnées de la nature humaine.

Au teint, on juge l'étoffe ; au bouquet, le vin ; à l'odeur, la fleur ; au langage, l'homme.

L'humanité est une suite discontinue d'hommes libres qu'isole irrémédiablement leur subjectivité.