Dans la vie, on a besoin d'un idéal. Certains hommes illustrent cet idéal.

L'homme naturellement ambitieux et orgueilleux ne trouve jamais en lui-même pourquoi un autre lui doit commander, jusqu'à ce que son besoin propre le lui fasse sentir.

Si le bonheur était dans les délectations du corps, nous dirions que les boeufs sont "heureux", lorsqu'ils trouvent du bon fourrage à manger.

Le succès n'a pas besoin d'explication, l'échec n'admet pas de justification.

Nous avons besoin d'entendre l'evangile tous les jours, parce que nous l'oublions tous les jours.

Merde : ce mot est une friandise. Seuls les crétins de haut vol ne l'utilisent jamais. Un mot qui se crie, qui se hurle, qui se susurre, se murmure, se savoure. C'est le mot qui console, dont on a besoin.