Ce n'est jamais quand des yeux vous regardent qu'on peut les trouver beaux ou laids, qu'on peut remarquer leur couleur.

Nous devons accepter le changement mais conserver nos principes.

Ecrire, c'est à peu près comme se trouver dans une maison vide et guetter l'apparition de fantômes.

Il existe un havre où l'on peut toujours savourer une relation authentique : le coin du feu chez un ami auprès duquel on peut se défaire de ses petites vanités et trouver chaleur et compréhension.

Ce qui est le pire, au fond, ce n'est pas de renoncer à un être. On finit toujours par trouver des raisons. C'est de renoncer à ce qu'il représente dans une vie.

Lorsque vous donnez la parole à chacun et que vous donnez le pouvoir aux gens, le système finit généralement par trouver sa place. Donc, ce que nous considérons comme notre rôle, c'est de donner ce pouvoir aux gens.