Un diadème posé sur une tête n'y a jamais fait entrer une idée de plus que ce qu'elle en pouvait contenir.

Chacun de nous est un gouffre ; on a la tête qui tourne quand on regarde au fond.

Ce n'est pas d'un tête-à-tête ni d'un corps à corps, c'est d'un coeur à coeur que nous avons besoin.

L'expérience est dans les doigts et dans la tête. Le coeur n'a pas d'expérience.

Marcher, c'est retrouver son instinct primitif, sa place et sa vraie position, son équilibre mental et physique. C'est aller avec soi, sans autre recours que ses jambes et sa tête. Sans autre moteur que celui du coeur, celui du moral.

Je ne suis pas du genre à prendre la grosse tête.