Quand on est né le plus pauvre parmi les pauvres, il est bon d'avoir quelque hautesse dans le coeur.

L'enfant a beau grandir, il reste toujours à la hauteur du coeur maternel.

Nous vivons de plus en plus dans l'oubli de l'être. Reconstituer cette sensibilité à la vie, cette attention aux coïncidences, tel est aussi le sens du roman.

L'orgueil que nous inspirent les enfants ne vient jamais du coeur, et se paie souvent cher.

Les larmes sont pour le coeur ce que l'eau est pour les poissons.

O douleur ! O douleur ! Le Temps mange la vie, Et l'obscur Ennemi qui nous ronge le coeur Du sang que nous perdons croît et se fortifie !