Comment la fin justifierait-elle les moyens ? Il n'y pas de fin, seulement des moyens à perpétuité.

Les héros sont ceux qui magnifient une vie qu'ils ne peuvent plus supporter.

Je ne pense pas qu'il y aura une femme Premier Ministre de ma vie.

Durant la vie, on reste assis sans se reposer. Une fois mort, on se repose sans s'asseoir.

Avoir trop de passé fait rêver à ne plus en avoir du tout. Mais quand on écrit et qu'on de la mémoire, la magie du roman consiste justement à vaincre cette difficulté : faire partager aux autres un souvenir somme toute très limité.

Si l'émotion est une ivresse, la passion est une maladie qui résiste à tous les moyens thérapeutiques... c'est un enchantement qui exclut l'amélioration morale.