Le mot frontière est un mot borgne L'homme a deux yeux pour voir le monde.

Par les chevaux de bataille haletants qui font jaillir le feu de leurs sabots, Qui, le matin, se précipitent sur l'ennemi En soulevant la poussière, Et qui pénètrent au milieu des troupes, En vérité, l'homme est ingrat envers son Seigneur...

L'homme dissipe son angoisse en inventant ou en adaptant des malheurs imaginaires.

Quel châtiment plus monstrueux peut-il être infligé à l'homme, parfois, que de vivre parmi les hommes ?

Essayez, si vous le pouvez, d'arrêter un homme qui voyage avec son suicide à la boutonnière.

Un homme doit avoir une certaine ignorance intelligente pour arriver à faire progresser les choses.