Notre siècle s'interprète mal lui-même et par moments ne se comprend pas. Il s'appelle le siècle du progrès et il se croit le siècle de l'utile. S'il était l'un il ne serait pas l'autre.

Peut-être vaut-il mieux pour Dieu qu'on ne croit pas en lui.

La carrière artisitique a ceci de particulier qu'elle mord autant qu'elle caresse surtout si on l'embrasse.

Ce ne sont point les lieux où un grand homme est né et où il est mort qu'il faut visiter pour lui rendre hommage. Ce sont les lieux qu'il admirait entre tous...

L'homme semble prédestiné au mal. En même temps il est libre. Comment concilier libre arbitre et prédestination ?

J'ai renoncé à l'amitié de deux hommes, l'un parce qu'il ne m'a jamais parlé de lui, l'autre parce qu'il ne m'a jamais parlé de moi.