On désire férocement la liberté, mais c'est presque toujours pour aller vers d'autres contraintes.

Nous marchons en ce monde sur le toit de l'enfer en regardant les fleurs

La beauté du monde, qui est si fragile, a deux arêtes, l'une de rire, l'autre d'angoisse, coupant le coeur en deux.

Dans quelques décennies, nous ne serons plus, mais nos atomes existeront toujours, poursuivant ailleurs l'élaboration du monde.

Il est certain, que quoi qu'on fasse, on est toujours le fantoche de quelqu'un. C'est un malheur dont on ne meurt pas.

Le monde a commencé sans l'homme et il s'achèvera sans lui.