Le bon professeur découvre les aptitudes naturelles de ses élèves et les developpe en les stimulant et en les inspirant. Le vrai chef grandit les hommes qui le suivent.

L'homme du siècle demande des lois et des institutions de convalescence, qui le brident sans le briser, qui le conduisent sans l'écraser.

L'honnêteté est le premier devoir du professeur. Sinon, les connaissances aussi vastes soient-elles ne valent rien.

Les peuples heureux n'ont pas de sociologie, mais ils ont des moeurs, des institutions et des lois.

Chaque homme renferme en soi un monde à part, étranger aux lois et aux destinées générales des siècles.

En édictant des lois, il faut être sévère ; en les appliquant, il faut être indulgent.