Il faut prendre conscience de l'apport d'autrui, d'autant plus riche que la différence avec soi-même est plus grande.

On n'est jamais si bien servi que par soi-même.

Je ne m'embête Anonymee part, car je trouve que, s'embêter, c'est s'insulter soi-même.

Nous avons toujours une ancre qui tient ferme aussi longtemps qu'on ne la brise pas soi-même : c'est le sentiment du devoir.

Les chiffres : à force de les additionner, de les soustraire, de les multiplier et de les diviser, on peut leur faire dire absolument n'importe quoi.

Lorsqu'il n'y a pas de lutte, il n'y a pas de force.