L'homme meurt avec les idées qui meurent en lui.

Une multitude est sans doute plus facile à leurrer qu'un seul homme.

A quoi que ce soit que l'homme s'applique, la nature l'y destinait.

Un homme habitué à écrire écrit aussi sans idées, comme ce vieux médecin qui tâtait le pouls de son fauteuil en mourant.

La dignité de l'homme consiste à prendre en main son devenir, à choisir.

Un homme peut jouir de toutes les saisons de la vie, mais une femme n'a droit qu'au printemps !