L'homme compense le poids du mal dont on lui a écrasé l'échine par la masse de sa haine.

Je ne crois point, au sens philosophique du terme, à la liberté de l'homme. Chacun agit non seulement sous une contrainte extérieure, mais aussi d'après une nécessité intérieure.

La seule satisfaction réelle de l'homme, c'est de provoquer la jouissance de la femme.

Quel champ de bataille que l'homme ! Nous sommes livrés à ces dieux, à ces monstres, à ces géants, nos pensées. Souvent ces belligérants terribles foulent aux pieds notre âme.

Le problème moral des représailles - A-t-on le droit de tuer un homme, fût-ce un ennemi, quand on sait que cet acte entraînera automatiquement la mort d'une cinquantaine d'innocents ? - n'a jamais été résolu.

La première idée d'une femme qui veut s'égaler à un homme, est de lui faire partager sa faiblesse.