Citations Autre

Mourir dans un monde c'est renaître dans l'Autre Monde.

Nous ne maîtrisons que ce que nous trouvons finalement ridicule, c'est seulement lorsque nous trouvons le monde et la vie qu'on y mène ridicules que nous avançons, il n'y a pas d'autre, pas de meilleure méthode.

Mutation et sélection ont fait l'homme de la même façon qu'elles ont modelé n'importe quel autre être vivant, avec l'impression philosophiquement importante, que sans cette difficulté, nous n'aurions pas eu de raison de naître.

La plus charmante femme du monde finit toujours par s'apercevoir que la première venue a un avantage sur elle, c'est d'être une autre.

Ecrire, c'est espérer. Ecrire, c'est transformer une chose en une autre. C'est se solidariser avec les autres. Ecrire, c'est l'essentiel dans sa pureté.

Il est faux que la liberté et l'indépendance puissent être disjointes et revendiquées l'une après l'autre.

Il y a deux choses que l'on conteste bien souvent aux rois : leur naissance et leur mort. On ne veut pas que l'une soit légitime, ni l'autre naturelle.

Je ne me préoccupe pas de vieillir. Si je dois passer avant mon temps, voilà comment je vais... la cigarette dans une main, un verre de scotch dans l'autre.

Préférence. Sentiment, ou disposition de l'esprit, induit par la croyance erronée qu'une chose est meilleure qu'une autre.

Peu importe que nous disions le vrai ou le faux, on contredira l'un et l'autre.

Pour la période qu'on appelle Moyen Âge, une double question se pose: celle de sa durée et celle de sa signification, puisqu'il existe une interprétation favorable et une autre, défavorable, de cette époque.

Nous étions si inséparables que, quand l'un pétait, c'était l'autre qui puait.

Je peux vivre avec mes propres erreurs. Je ne peux pas vivre avec quelqu'un d'autre.

La femme qu'on a épousée n'est pas nécessairement meilleure qu'on l'espérait, ni pire qu'on le craignait, mais elle est toujours autre qu'on l'imaginait.

Aimer, c'est préférer un autre à soi-même.

Le barbare n'est pas un étranger qui parle une autre langue, la sienne, mais l'étranger qui parle ma langue et qui l'écorche.