Citations Cerveau

Nous sommes une espèce jeune, un singe technologiquement sophistiqué, bipède doté d'un cerveau, avec un impact planétaire et des aspirations extraterrestres.

L'esprit est un produit de l'organisation du cerveau tout comme la vie est un produit de l'organisation des molécules.

Je suis végétarien et anti-alcoolique : ainsi je peux faire un meilleur usage de mon cerveau.

Le nez ne sent pas le cerveau pourri.

La classe dite moyenne tient dans l'Etat la place que tient le ventre dans le corps humain : le milieu. Il y a des hommes qui sont le cerveau du progrès. Il y en a d'autres qui en sont les pieds.

Tout persécute nos idées, à commencer par notre cerveau.

L'intellectuel est quelqu'un dont le cerveau s'absente lui-même.

L'humour est une forme de révolte. C'est aussi un remède à la colère, à l'emportement ou à la déprime ; il humanise les rapports, facilite l'irrigation du cerveau, décontracte les nerfs...

Un cerveau tranquille, c'est l'essentiel d'une bonne vie. On le dit. Avoir la paix de l'esprit, c'est le plus grand des biens...

Des chercheurs ont découvert que le chocolat produisait sur le cerveau des réactions similaires à celles de la marijuana... Ils ont aussi trouvé d'autres similitudes mais ne s'en souviennent plus !

L'ennui avec la télévision, c'est qu'on la regarde pour se changer les idées et qu'elle finit par nous laver le cerveau.

Certaines gens voient comme si leurs yeux étaient au bout d'une perche, très loin de leur cerveau.

Attention au virus de l'intelligence artificielle. La représentation parfaite endort le cerveau.

La pensée véritable et authentique est semblable à une graine ; elle est semée dans la terre fertile du cerveau. Pour qu'il y ait germination, il faut une culture, des engrais intellectuels et l'irrigation par la morale.

Le cerveau des enfants est comme une bougie allumée dans un lieu exposé au vent : sa lumière vacille toujours.

Après un certain âge, la lecture détourne trop l'esprit de ses activités créatrices. Tout homme qui lit trop et utilise trop son propre cerveau tombe dans des habitudes de réflexion paresseuses.